Korriganed Pañvrid

Pommerit-le-Vicomte

Le cercle de Pommerit-le-Vicomte a vu le jour en 1989. L’aventure a commencé par un groupe d’enfants. « De pas de danses en rondes folles ». Une section adulte fut ensuite créée en 1994. Se présentant aux différents concours de la confédération Kendalc’h, le cercle a gravi tous les échelons pour rejoindre la catégorie Excellence. Les Korriganed Pañvrid se distinguent en général par des spectacles originaux n’hésitant pas à traiter de façon humoristique des sujets tels que les contes et légendes de la mort. Ils n’hésitent pas à lancer des passerelles vers d’autres esthétiques (marionnettistes récemment) pour proposer des spectacles emplis de poésie et d’humour pour un traitement contemporain de thématiques ancrées dans le patrimoine de Bretagne. Vous l’avez compris, le plaisir de danser, et la joie d’être ensemble sont chez les korrigans de Pommerit la raison d’être ! La diversité de l’accompagnement musical est également un point fort : chanteuses, orchestre et bagad.

Pays Tregor

※ Découvrir ce terroir sur Heritaj

danseurs

musiciens (bagad et groupe musical)

Infos pratiques

En savoir plus

http://www.pommeritlevicomte.fr/

Korriganed Pañvrid sur scène !

Spectacle 2023

Sorserezed ? (Sorcières ?)

Magiciennes, rebouteuses, druidesses, savantes… Femmes fortes, esprit libre !
Curiosité que la société normée tente de réprimer.
Nous faisons peur, on nous méprise, on nous chasse. Et pourtant…
Qui sommes-nous vraiment ?

Spectacle 2018

An eured vein (La noce de pierres)

La légende veut qu’une noce paysanne, possédée par le démon de la danse, ait refusé de laisser le passage au prêtre du village qui allait porter l’extrême-onction à l’un de ses paroissiens mourant. L’homme d’Eglise, chahuté par la noce, arriva trop tard pour accomplir sa mission. Il lança alors une malédiction sur l’ensemble des noceurs, qui furent punis pour leur méchante attitude : à la dernière note de la dernière danse, ils ont été changés en pierres.

Spectacle 2019

Dorioù an Ifern

« L’âme bretonne est plus sensible qu’une autre aux charmes de la mort. » Chanoine Perenes, 1924. De Châteaubriand à Le Braz et Luzel, les auteurs et collecteurs bretons nous ont restitué la dimension ténébreuse et la relation singulière des Bretons à la mort. Librement inspirés de ces légendes et traditions populaires, nous vous ouvrons les « portes de l’enfer ».